Extra, La refonte du métier est-elle une réalité ?

Au lendemain de la pandémie, de profond changement dans la structuration des ressources humaines et ambitions des grands et moyens acteurs du milieu du traiteur sont bien à l'ordre du jour. Cet essai a pour but d’analyser les tenants et aboutissants et de pouvoir entretenir le dialogue avec nos utilisateurs quand à l'avenir du métier.

Nous attirons votre attention sur le fait que cet article réservé aux professionnels pourrait déplaire mais nous allons volontairement commencé par l'aspect d'optimisation des équipes terrain pour pouvoir revenir ensuite sur la réelle valeur ajouté de nos flottes en l'état.

Sacré Covid !!!

À première vue, les beaux jours sont potentiellement comptés pour les plus anciens de la profession. La fin de l’époque doré est un sujet courant dans le milieu des extras, et bien qu’énormément de professionnel envisageaient une reconversion, le Covid-19 en aura le cataliseur pour en accéléré la formalisation.

Bien le métier survive, et que nos vieux briscards, ne raccrocheront réellement jamais – la sévérité avec laquelle la profession a été touché, à laisser énormement de laissé-pour-compte – plus d’indemnités, plus de couverture sociale, un recalcul des indémnités journalières … – il ne faisait donc pas bon vivre, en tant qu’extra pendant ces périodes de disette.

C’est au travers de ces expériences passées et cette nouvelle phase de crise qu’Il pourra dorénavant être d’usage de préféré une équipe constitué de petites mains; managées par des pro afin de pouvoir tenir les lignes de crédits ou autres PGE, en parralèle de la concurence du marché, plutôt qu’une équipe complète de professionnels qui coûte cher. Et cette rotation dangereuse pour le métier de maître d’hôtel fait les beaux jours de nos traiteurs. Car si les petites mains, habitué à des salaires moindres montent en compétence, c’est alors sur le long terme que la refonte du système et le fonctionnement du métier va s'articuler.

Car ce qui fait la qualité d’un MH professionnel, c’est son expérience ; mais plus précisément si l'on traite ça d'un point de vue pragmatique; la possibilité d'exercer des taches spécifiques à de nombreuse reprise, permettant sla monté en compétence et dès lors l'employabilité dans le secteur. Un ancien responsable d’équipe m’expliquait à quel point il était simple de façonner son équipe au travers d’un recrutement précis, puis d’une formation intensive sur terrain qui aboutissait souvent à la professionnalisation d’un nouvel aspirant sur le marché des extras.

Il est dès lors envisageable en partant de cet état de fait, que la monté en compétence de nouveaux candidats pourrait être une menace pour les anciens et permettrait sur le long terme de revoir progressivement les taux horaires des flottes. Il en va de même pour la signature plus récurrente de CDI dans le milieu, qui permettent une économie non-négligeable pour les société qui ont une bonne rotation et pourront réaffecter cette force de travail sur d'autre tâche en cas de perte d'activité.

Cela mettra t-il un terme aux mercenaires toujours en recherche d’une plage et d’un taux horaire des plus haut; car si vous enlevez ces notions de négociations entre les premiers et les traiteurs alors plus la mutation s'accelerera.

Mais le métier d’extra comme on le connaît est-il voué à disparaître ?

Et bien malgré toutes les stratégies et spéculations envisageables ... bien au contraire. De ce cheminement de pensée vient s’entre choqué la notion de pénibilité du métier, qui reste présente. Les horaires difficiles, les doubles, la disponibilité et la motivation des extra à se déplacer en seront les principaux défenseurs. Cette aspect reste fondamentalement le dernier rempart des manifestations menées à bien et des plannings bouclés pour la semaine suivante. Car un MH ou premier de métier est capable au travers de son réseau de garantir la pérennité d’opérations futures sans que le traiteur n’ai réellement à s’en soucié, en assurant la qualité des équipes mise à disposition, pour ne pas finir avec un garagiste / maître d'hotel du dimanche qui fait tomber les couverts sur madame et cela en fait un argument de taille en opposition à l'optimisation de tels besoins.

En conclusion, Non !!! Ce beau métier n'est en aucun cas voué à dispparaître, mais certaines transformations sont envisageables dans le futur et le complément d'équipe avec des petites mains ou encore des diner de gala en collaboration avec les éléves d'école hotellière sont relativement courante. Mais jamais rien ne remplacera la mobilisation d'un réseau expérimenté qui peut vous fournir un nombre important de professionnel en dernière minute.

Ce que propose notre solution sur ce pan là, est la gestion de votre relation avec vos maîtres d’hôtel « booker », en leur permettant d'accéder au planning et de vous confirmer la bonne disponibilité des équipe, de faire signer les contrats des extra en amont, le jour même ou après la prestation. De tenir votre masse salariale terrain à jour, mais aussi l’implémentation de vos petites mains et vos employés à temps plein dans les plannings dont vous avez la démonstration dans la courte vidéo ci-dessous.